« J’en plaisante avec les gens, mais c’est en quelque sorte vrai. À la place, selon elle, une nouvelle valeur a émergé : «La vérité n’est pas un processus de découverte collective, mais une orthodoxie déjà connue de quelques personnes éclairées dont le boulot est d’informer tous les autres». “La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue” (Jean 1:5).
Andrew Yang is showing what healthy populism looks like.
Sa voix, et ses idées, ne sont pas prêtes d'être muselées.
Weiss a publié la lettre de démission qu’elle a envoyée à l’éditeur du Times, A. G. Sulzberger, sur son site Internet personnel, en disant : « Se présenter au travail comme centriste dans un journal américain ne devrait pas nécessiter du courage. (New York, le 10 septembre 2019.). She is a native of Pittsburgh and graduated from Columbia University in 2007. « Nous apprécions les nombreuses contributions que Bari a apportées à la rubrique Opinion du Times.
Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Google. Pour elle, «la curiosité intellectuelle, sans parler de la prise de risques, sont désormais un handicap au New York Times. J’ai l’impression d’avoir une kippa permanente attachée à ma tête à tout moment », a-t-elle déclaré. (Crédit : Josefin Dolsten), Bari Weiss s’adressant à 500 personnes via Zoom, invitée d’honneur de la campagne Community Recovery and Resilience de la Fédération CJA de Montréal, le 23 juillet 2020.
Beaucoup de gens pensent que [ma démission est] folle, comme, pourquoi abandonner ce poste de prestige ? Quand il est élu, elle fond en larmes dans la rédaction, confie-t-elle à Vanity Fair en avril 2019 : «Je pleurais ouvertement à mon bureau.
Ces idées, a-t-elle dit, ont transformé le monde. Mais pendant la dernière campagne présidentielle américaine, alors qu'elle travaille au Wall Street Journal, elle peine à faire paraître ses articles sur l'émergence de Trump. Cela nous enseigne que nous devons être très prudents quant aux informations que nous croyons.
Le siège du journal The New York Times sur la 8e avenue. Bari Weiss est jugée réactionnaire, antiféministe et raciste, «en croisade contre les Arabes, les musulmans, et tous ceux qui critiquent Israël». Selon la journaliste démissionnaire, donc, cette liberté-là, celle de l'échange d'idées et des points de vue, n'a plus droit de cité dans les pages du célèbre quotidien américain. Au cœur de la controverse, on lui reprochera d’avoir tout simplement voulu réduire au silence ceux avec lesquels elle n'était pas d'accord. Jeffrey McCall, professeur à l’université DePauw et critique des médias, a déclaré à Fox News que la lettre de Weiss « offre une autre fenêtre sur l’état d’esprit de l’idéologie journalistique et de la défense des droits » au Times.
Pourquoi est-il si dangereux ?
Le New York Times lui ouvre alors les bras : Bari Weiss y est embauchée pour ouvrir le journal aux opinions les plus diverses possibles.
Aînée de quatre filles, Bari Weiss est née à Pittsburgh, en Pennsylvanie, d’un père marchand de tapis plutôt conservateur, et d’une mère qui travaille comme acheteuse au département make-up d’un grand magasin, et qui cultive des opinions plutôt libérales.
Commençons par la fin.
« Avec nous, elles sont capables d’éclairer le monde.
Mon travail et moi-même sont ouvertement dénoncés sur les fils Slack (application de messagerie interne, NDLR) de l’entreprise, où des rédacteurs en chef importants interviennent souvent.» Avant d'ajouter : «Certains collaborateurs soutiennent qu’il faut je sois éjectée de cette entreprise pour qu’elle soit vraiment inclusive, pendant que d’autres postent des emoticons en forme de hache près de mon nom.».
Elle écrit qu’elle a été intimidée par des collègues dans un « environnement peu libéral », que « les récits sont choisis et racontés de manière à satisfaire le public le plus restreint » et que la « curiosité intellectuelle » est un handicap au Times, parmi d’autres réactions dévastatrices.
Plus je me suis connectée à mon propre judaïsme, à l’histoire juive, plus ma conviction est devenue forte. «Ses parents étaient déçus qu’elle ne soit pas classée plus haut», est-il précisé à ce propos, et avec humour, dans la courte biographie de son site Internet.
« J’en plaisante avec les gens, mais c’est en quelque sorte vrai. À la place, selon elle, une nouvelle valeur a émergé : «La vérité n’est pas un processus de découverte collective, mais une orthodoxie déjà connue de quelques personnes éclairées dont le boulot est d’informer tous les autres». “La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue” (Jean 1:5).
Andrew Yang is showing what healthy populism looks like.
Sa voix, et ses idées, ne sont pas prêtes d'être muselées.
Weiss a publié la lettre de démission qu’elle a envoyée à l’éditeur du Times, A. G. Sulzberger, sur son site Internet personnel, en disant : « Se présenter au travail comme centriste dans un journal américain ne devrait pas nécessiter du courage. (New York, le 10 septembre 2019.). She is a native of Pittsburgh and graduated from Columbia University in 2007. « Nous apprécions les nombreuses contributions que Bari a apportées à la rubrique Opinion du Times.
Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Google. Pour elle, «la curiosité intellectuelle, sans parler de la prise de risques, sont désormais un handicap au New York Times. J’ai l’impression d’avoir une kippa permanente attachée à ma tête à tout moment », a-t-elle déclaré. (Crédit : Josefin Dolsten), Bari Weiss s’adressant à 500 personnes via Zoom, invitée d’honneur de la campagne Community Recovery and Resilience de la Fédération CJA de Montréal, le 23 juillet 2020.
Beaucoup de gens pensent que [ma démission est] folle, comme, pourquoi abandonner ce poste de prestige ? Quand il est élu, elle fond en larmes dans la rédaction, confie-t-elle à Vanity Fair en avril 2019 : «Je pleurais ouvertement à mon bureau.
Ces idées, a-t-elle dit, ont transformé le monde. Mais pendant la dernière campagne présidentielle américaine, alors qu'elle travaille au Wall Street Journal, elle peine à faire paraître ses articles sur l'émergence de Trump. Cela nous enseigne que nous devons être très prudents quant aux informations que nous croyons.
Le siège du journal The New York Times sur la 8e avenue. Bari Weiss est jugée réactionnaire, antiféministe et raciste, «en croisade contre les Arabes, les musulmans, et tous ceux qui critiquent Israël». Selon la journaliste démissionnaire, donc, cette liberté-là, celle de l'échange d'idées et des points de vue, n'a plus droit de cité dans les pages du célèbre quotidien américain. Au cœur de la controverse, on lui reprochera d’avoir tout simplement voulu réduire au silence ceux avec lesquels elle n'était pas d'accord. Jeffrey McCall, professeur à l’université DePauw et critique des médias, a déclaré à Fox News que la lettre de Weiss « offre une autre fenêtre sur l’état d’esprit de l’idéologie journalistique et de la défense des droits » au Times.
Pourquoi est-il si dangereux ?
Le New York Times lui ouvre alors les bras : Bari Weiss y est embauchée pour ouvrir le journal aux opinions les plus diverses possibles.
Aînée de quatre filles, Bari Weiss est née à Pittsburgh, en Pennsylvanie, d’un père marchand de tapis plutôt conservateur, et d’une mère qui travaille comme acheteuse au département make-up d’un grand magasin, et qui cultive des opinions plutôt libérales.
Commençons par la fin.
« Avec nous, elles sont capables d’éclairer le monde.
Mon travail et moi-même sont ouvertement dénoncés sur les fils Slack (application de messagerie interne, NDLR) de l’entreprise, où des rédacteurs en chef importants interviennent souvent.» Avant d'ajouter : «Certains collaborateurs soutiennent qu’il faut je sois éjectée de cette entreprise pour qu’elle soit vraiment inclusive, pendant que d’autres postent des emoticons en forme de hache près de mon nom.».
Elle écrit qu’elle a été intimidée par des collègues dans un « environnement peu libéral », que « les récits sont choisis et racontés de manière à satisfaire le public le plus restreint » et que la « curiosité intellectuelle » est un handicap au Times, parmi d’autres réactions dévastatrices.
Plus je me suis connectée à mon propre judaïsme, à l’histoire juive, plus ma conviction est devenue forte. «Ses parents étaient déçus qu’elle ne soit pas classée plus haut», est-il précisé à ce propos, et avec humour, dans la courte biographie de son site Internet.
« J’en plaisante avec les gens, mais c’est en quelque sorte vrai. À la place, selon elle, une nouvelle valeur a émergé : «La vérité n’est pas un processus de découverte collective, mais une orthodoxie déjà connue de quelques personnes éclairées dont le boulot est d’informer tous les autres». “La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue” (Jean 1:5).
Andrew Yang is showing what healthy populism looks like.
Sa voix, et ses idées, ne sont pas prêtes d'être muselées.
Weiss a publié la lettre de démission qu’elle a envoyée à l’éditeur du Times, A. G. Sulzberger, sur son site Internet personnel, en disant : « Se présenter au travail comme centriste dans un journal américain ne devrait pas nécessiter du courage. (New York, le 10 septembre 2019.). She is a native of Pittsburgh and graduated from Columbia University in 2007. « Nous apprécions les nombreuses contributions que Bari a apportées à la rubrique Opinion du Times.
Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Google. Pour elle, «la curiosité intellectuelle, sans parler de la prise de risques, sont désormais un handicap au New York Times. J’ai l’impression d’avoir une kippa permanente attachée à ma tête à tout moment », a-t-elle déclaré. (Crédit : Josefin Dolsten), Bari Weiss s’adressant à 500 personnes via Zoom, invitée d’honneur de la campagne Community Recovery and Resilience de la Fédération CJA de Montréal, le 23 juillet 2020.
Beaucoup de gens pensent que [ma démission est] folle, comme, pourquoi abandonner ce poste de prestige ? Quand il est élu, elle fond en larmes dans la rédaction, confie-t-elle à Vanity Fair en avril 2019 : «Je pleurais ouvertement à mon bureau.
Ces idées, a-t-elle dit, ont transformé le monde. Mais pendant la dernière campagne présidentielle américaine, alors qu'elle travaille au Wall Street Journal, elle peine à faire paraître ses articles sur l'émergence de Trump. Cela nous enseigne que nous devons être très prudents quant aux informations que nous croyons.
Le siège du journal The New York Times sur la 8e avenue. Bari Weiss est jugée réactionnaire, antiféministe et raciste, «en croisade contre les Arabes, les musulmans, et tous ceux qui critiquent Israël». Selon la journaliste démissionnaire, donc, cette liberté-là, celle de l'échange d'idées et des points de vue, n'a plus droit de cité dans les pages du célèbre quotidien américain. Au cœur de la controverse, on lui reprochera d’avoir tout simplement voulu réduire au silence ceux avec lesquels elle n'était pas d'accord. Jeffrey McCall, professeur à l’université DePauw et critique des médias, a déclaré à Fox News que la lettre de Weiss « offre une autre fenêtre sur l’état d’esprit de l’idéologie journalistique et de la défense des droits » au Times.
Pourquoi est-il si dangereux ?
Le New York Times lui ouvre alors les bras : Bari Weiss y est embauchée pour ouvrir le journal aux opinions les plus diverses possibles.
Aînée de quatre filles, Bari Weiss est née à Pittsburgh, en Pennsylvanie, d’un père marchand de tapis plutôt conservateur, et d’une mère qui travaille comme acheteuse au département make-up d’un grand magasin, et qui cultive des opinions plutôt libérales.
Commençons par la fin.
« Avec nous, elles sont capables d’éclairer le monde.
Mon travail et moi-même sont ouvertement dénoncés sur les fils Slack (application de messagerie interne, NDLR) de l’entreprise, où des rédacteurs en chef importants interviennent souvent.» Avant d'ajouter : «Certains collaborateurs soutiennent qu’il faut je sois éjectée de cette entreprise pour qu’elle soit vraiment inclusive, pendant que d’autres postent des emoticons en forme de hache près de mon nom.».
Elle écrit qu’elle a été intimidée par des collègues dans un « environnement peu libéral », que « les récits sont choisis et racontés de manière à satisfaire le public le plus restreint » et que la « curiosité intellectuelle » est un handicap au Times, parmi d’autres réactions dévastatrices.
Plus je me suis connectée à mon propre judaïsme, à l’histoire juive, plus ma conviction est devenue forte. «Ses parents étaient déçus qu’elle ne soit pas classée plus haut», est-il précisé à ce propos, et avec humour, dans la courte biographie de son site Internet.
Dans sa lettre de démission de mardi, Weiss a dénoncé le NY Times. L’auteur acclamée de How to Fight Anti-Semitism [Comment lutter contre l’antisémitisme] était la tête d’affiche d’une campagne en ligne de la Fédération CJA de Montréal pour le rétablissement et la résilience de la communauté, jeudi, où elle a parlé de la force du peuple juif face à la pandémie de COVID-19 et de la montée de l’antisémitisme en Amérique du nord.
L’éditorialiste a connu sa part de périodes sombres. Ce qui ne l’empêche pas de se montrer critique envers sa propre communauté.
Bari Weiss souligne que la manifestation, organisée contre un président «qui s’attaque aux plus faibles et aux plus vulnérables», l’a «émue». Un événement, en particulier, a peut-être fini de la convaincre : l’éviction, début juin, de son chef, James Bennet, qui a autorisé la publication d’une tribune du sénateur républicain Tom Cotton, appelant à avoir recours à l’armée pour mettre fin aux heurts survenus pendant les manifestations antiracistes. Je ne peux plus faire le travail pour lequel vous m'avez embauchée - le travail qu'Adolph Ochs a défini dans cette célèbre déclaration de 1896 : "Faire des colonnes du New York Times un forum où sont examinées toutes les questions d'importance publique et, à cette fin, y convier les discussions intelligentes issues de toutes les nuances d'opinion".
« J’en plaisante avec les gens, mais c’est en quelque sorte vrai. À la place, selon elle, une nouvelle valeur a émergé : «La vérité n’est pas un processus de découverte collective, mais une orthodoxie déjà connue de quelques personnes éclairées dont le boulot est d’informer tous les autres». “La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue” (Jean 1:5).
Andrew Yang is showing what healthy populism looks like.
Sa voix, et ses idées, ne sont pas prêtes d'être muselées.
Weiss a publié la lettre de démission qu’elle a envoyée à l’éditeur du Times, A. G. Sulzberger, sur son site Internet personnel, en disant : « Se présenter au travail comme centriste dans un journal américain ne devrait pas nécessiter du courage. (New York, le 10 septembre 2019.). She is a native of Pittsburgh and graduated from Columbia University in 2007. « Nous apprécions les nombreuses contributions que Bari a apportées à la rubrique Opinion du Times.
Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Google. Pour elle, «la curiosité intellectuelle, sans parler de la prise de risques, sont désormais un handicap au New York Times. J’ai l’impression d’avoir une kippa permanente attachée à ma tête à tout moment », a-t-elle déclaré. (Crédit : Josefin Dolsten), Bari Weiss s’adressant à 500 personnes via Zoom, invitée d’honneur de la campagne Community Recovery and Resilience de la Fédération CJA de Montréal, le 23 juillet 2020.
Beaucoup de gens pensent que [ma démission est] folle, comme, pourquoi abandonner ce poste de prestige ? Quand il est élu, elle fond en larmes dans la rédaction, confie-t-elle à Vanity Fair en avril 2019 : «Je pleurais ouvertement à mon bureau.
Ces idées, a-t-elle dit, ont transformé le monde. Mais pendant la dernière campagne présidentielle américaine, alors qu'elle travaille au Wall Street Journal, elle peine à faire paraître ses articles sur l'émergence de Trump. Cela nous enseigne que nous devons être très prudents quant aux informations que nous croyons.
Le siège du journal The New York Times sur la 8e avenue. Bari Weiss est jugée réactionnaire, antiféministe et raciste, «en croisade contre les Arabes, les musulmans, et tous ceux qui critiquent Israël». Selon la journaliste démissionnaire, donc, cette liberté-là, celle de l'échange d'idées et des points de vue, n'a plus droit de cité dans les pages du célèbre quotidien américain. Au cœur de la controverse, on lui reprochera d’avoir tout simplement voulu réduire au silence ceux avec lesquels elle n'était pas d'accord. Jeffrey McCall, professeur à l’université DePauw et critique des médias, a déclaré à Fox News que la lettre de Weiss « offre une autre fenêtre sur l’état d’esprit de l’idéologie journalistique et de la défense des droits » au Times.
Pourquoi est-il si dangereux ?
Le New York Times lui ouvre alors les bras : Bari Weiss y est embauchée pour ouvrir le journal aux opinions les plus diverses possibles.
Aînée de quatre filles, Bari Weiss est née à Pittsburgh, en Pennsylvanie, d’un père marchand de tapis plutôt conservateur, et d’une mère qui travaille comme acheteuse au département make-up d’un grand magasin, et qui cultive des opinions plutôt libérales.
Commençons par la fin.
« Avec nous, elles sont capables d’éclairer le monde.
Mon travail et moi-même sont ouvertement dénoncés sur les fils Slack (application de messagerie interne, NDLR) de l’entreprise, où des rédacteurs en chef importants interviennent souvent.» Avant d'ajouter : «Certains collaborateurs soutiennent qu’il faut je sois éjectée de cette entreprise pour qu’elle soit vraiment inclusive, pendant que d’autres postent des emoticons en forme de hache près de mon nom.».
Elle écrit qu’elle a été intimidée par des collègues dans un « environnement peu libéral », que « les récits sont choisis et racontés de manière à satisfaire le public le plus restreint » et que la « curiosité intellectuelle » est un handicap au Times, parmi d’autres réactions dévastatrices.
Plus je me suis connectée à mon propre judaïsme, à l’histoire juive, plus ma conviction est devenue forte. «Ses parents étaient déçus qu’elle ne soit pas classée plus haut», est-il précisé à ce propos, et avec humour, dans la courte biographie de son site Internet.